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2004
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page spéciale Bretagne
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DNA. Obernai |
Les campeurs de
Noël se jouent du froid. Au camping municipal d'Obernai, pas question de fermer en hiver. Le taux d'occupation devrait avoisiner les 30 % en décembre avec les camping-caristes. Pendant que Maurice déblaie à la raclette le pare-brise du camping-car, c'est consciemment emmitouflée que Martine revient des douches. Attention au refroidissement, car sous le soleil d'Alsace, le froid est sacrément vif en ce début de la dernière semaine de l'avent. Maurice et Martine sont venus de Blois. En trois jours, ils ont fait le chemin d'Obernai en passant par Metz, Saverne et Strasbourg. Ils comptent encore descendre vers Sélestat et le Haut-Rhin. Et Noël, le couple le passera dans le véhicule. «C'est une ambiance particulière, confie Maurice, et il se forge des liens particuliers entre les adeptes de l'itinérant qui passent Noël comme nous». Le tourisme hivernal marche bien en Alsace. Mais si la grande majorité des visiteurs, qu'ils soient français ou étrangers, sont hébergés dans la chaleur d'une chambre d'hôtel, d'autres préfèrent le camping-car. Et ce genre de vacances est plus prisé qu'on le pense. Annie Sénécal, la gérante du camping d'Obernai, ne chôme pas en hiver. L'équipement municipal avait déjà réservé des emplacements pour pas moins de quatre clubs de camping-caristes. Sans compter les individuels qui se sont ajoutés au cours du mois de décembre. Les marchés de Noël, c'est sûr, ont la côte pour les adeptes du nomadisme sur roues. Le plus fort contingent de camping-caristes s'est rencontré pour le week-end des 11-12 décembre. Mais pour Annie Sénécal, il n'y a pas de règle absolue et les périodes d'affluence varient d'une année à l'autre. Le camping d'hiver devrait représenter cette année entre 25 et 30% de la capacité. La Provence aussi. Une tendance qui va en augmentant. Il faut dire que les camping-cars actuels offrent tout le confort souhaitable en hiver. Un bon système de chauffage qui rend votre home roulant aussi douillet qu'un trois étoiles. Nos visiteurs du Loir-et-Cher sont des connaisseurs de l'Alsace. Mais c'est la première fois qu'ils découvrent la région en hiver. Même s'ils font partie d'un club, Maurice et Martine sont venus seuls. Leurs amis camping-caristes ont préféré mettre le cap sur le Midi, pour faire les marchés de Noël provençaux. Une autre tradition très forte à découvrir... sans le charme de la tonique froidure de l'Est. ....lire tout l'article > http://www.dna.fr/alsace/obernai/20041222_DNA001581.html et sur CCeL > les marchés de Noël en Alsace.  |
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Dna.fr |
De l'ombre aux
lumières de Noël. Petit à petit, les Balades de Noël aux lanternes, organisées par la Société d'Histoire de Kientzheim, s'inscrivent dans le paysage festif de la Vallée de la Weiss. Grâce à l'Office de Tourisme et ses dépliants ou son site internet, la presse et les affiches, une soixantaine de personnes ont décidé de participer à cette petite promenade dans le froid de l'hiver. Venant tant du village que des environs ou d'autres régions de France (dont un joyeux groupe de Normands sillonnant les hauts-lieux des Noëls d'Alsace en camping-car), ils étaient une bonne soixantaine que le président de la Société d'Histoire, Yvan Hobel, eut le plaisir de saluer dans l'église un peu chauffée. Noël est un sujet bien vaste; pour cadrer la grande fête de la naissance, l'orateur parla des origines de cette nuit sainte, des débuts alsaciens du sapin de Noël et de ses décors, et enfin de la crèche qui connut tous les excès de vénération ou de haine, avant de devenir tradition populaire. A sa suite, Bernard Marck raconta ses Noëls d'enfance, pleins de lumières, d'odeurs et de saveurs, si loin des actuelles manifestations d'abondance mercantile. Avant de se mettre en route vers la chapelle du bas du village, pendant que Félix Adam et René Knoerr, les deux techniciens aux lanternes, allumaient les lampes, Bernard Marck donna encore un rapide aperçu du mobilier de l'église. L'itinéraire pour se rendre de crèche à crèche emprunte les ruelles étroites et sombres, le chemin de ronde des remparts, avant de déboucher dans les lumières étoilées de la place de la Mairie. Les enfants sont fiers de porter les lanternes dont la faible clarté permet tout juste de voir où l'on met les pieds. La chapelle n'étant pas chauffée, on s'y attarde moins. Le temps d'admirer la belle crèche montée par les voisins, de la « Paroisse du bas », d'apprendre la belle histoire du miracle qui fit pleurer deux statues en août 1466, de contempler la collection d'ex-votos, ou encore de connaître le triste sort de l'église du pèlerinage bombardée et laissée à l'abandon pendant près de vingt ans, ouverte au pillage (la belle crèche aux grandes statues en bois dort sans doute dans quelque grenier), et l'on repartit vers l'hôtel de ville. Dans la petite salle de réunion, touristes et gens du pays échangèrent souvenirs, traditions et recettes, autour d'un verre de tokay d'Alsace, comme il se doit en la ville de Lazare de Schwendi. ....lire tout l'article > http://www.dna.fr/alsace/ribeaukay/20041212_DNA001454.html et sur CCeL > les marchés de Noël en Alsace. |
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Caen.maville.com |
Xavier collectionne sa passion
au 1/43e. Xavier Perriot participait ce week-end au salon des collectionneurs de Fleury-sur-Orne. Pour cet amateur de voitures et camions miniatures, surtout à l'échelle 1/43e, pas de plus grand plaisir que de s'occuper de ses jouets. Même à 58 ans. « Il m'arrive de les sortir de leurs vitrines. De les regarder, de les brosser, et même de les faire rouler. » À 58 ans, Xavier Perriot est resté un grand gamin. Ses petites voitures lui font tourner la tête. Et les roues de son camping-car, lui qui parcourt près de 100 000 km par an à la recherche de la perle rare. Ce week-end, le Fougéreen était à Fleury-sur-Orne pour le huitième salon des collectionneurs de l'Amicale rétromobile. La semaine prochaine, direction Bourges, pour acheter une pièce extrêmement rare. « Un Hafa », lâche-t-il, comme si tout le monde possédait ses connaissances en la matière. En fait, un magnifique camion, dont la mise à prix est prévue à 500 ou 600 €. « Mais il montera bien plus haut, prédit Xavier. 1 300 €. Peut-être même plus... » Les jouets, cela a toujours été une passion. « C'est de naissance, s'amuse Xavier. J'ai toujours fait bien attention à ne pas les esquinter. C'était quelque chose de personnel. Je ne les prêtais à personne. » Un demi-siècle plus tard, les choses ont bien évolué, puisqu'Alain s'est maintenant lancé dans les bourses d'échanges, où personne ne peut longer son étal sans le remarquer. « Quand j'ai commencé, il y a six ans, je tenais sur une table de camping, avec une trentaine de modèles. Aujourd'hui, il me faut au moins dix mètres. » Dix mètres de Dinky Toys, de Norev, de CIJ, de 4CV, d'Aronde, vieux camions... L'un d'eux, qu'il classe comme sa plus belle pièce, s'affiche à 700 €. « Avec la boîte d'origine. » Chez Xavier, deux collections s'affrontent. Celle qui voyage de salon en bourse d'échange. Et celle qui reste bien tranquillement à demeure. Dans de grandes malles de marine, faute de place dans ses vitrines. « J'en ai 1 880... Non, 1 881 », corrige-t-il. Mais entre les deux ensembles, la frontière est poreuse. « Je peux décider de vendre une miniature sur un coup de tête. Si j'ai une belle offre, par exemple. » Le mécanisme marche aussi dans l'autre sens, pour alimenter la collection. Mais de toute façon, Xavier garde une trajectoire bien précise : le but reste d'avoir le maximum de Dinky Toys, les plus belles à son sens. « J'aime aussi les autres, mais pas autant », avoue-t-il. ....lire tout l'article > http://www.caen.maville.com/actu/detail.asp?idDoc=184520&IdCla=16 |
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CyberPressAuto.CA |
Un Montréalais redessine la
Westfalia. «Êtes-vous fait pour Volkswagen?» Alexandre Verdier l'est! Récipiendaire du Challenge Design de Michelin 2004, Alexandre, 30 ans, se rendra, à l'invitation du manufacturier français, au Salon automobile de Detroit le mois prochain pour y présenter son oeuvre: une version actualisée du Volkswagen Westfalia. Quelque 250 stylistes professionnels de 50 pays ont participé à la troisième édition de concours annuel dont la thématique cette année était le design allemand. Diplômé de l'École de design industriel de l'Université de Montréal, Alexandre Verdier n'est pas à proprement dit un fanatique d'automobiles. Ralph Gilles, styliste vedette de DaimlerChrysler, originaire de Montréal, lui est inconnu. Par contre, il connaît par leurs prénoms tous les stylistes de Volkswagen, sa marque fétiche. D'ailleurs, son objectif est de joindre le studio californien du constructeur allemand. Et si l'offre venait d'un autre constructeur? «Peut-être, mais il faudrait que l'offre soit extrêmement intéressante», de préciser notre interlocuteur qui profitera de son passage dans la ville de l'automobile pour nouer quelques contacts. «Je sais d'ores et déjà que je rencontrerai quelques dirigeants du studio de design de Volkswagen en Californie, dit-il, et j'ai bien hâte d'entendre leurs commentaires sur mon projet. Aussi à l'agenda, un souper officiel avec Michelin, une bonne occasion sans doute de se faire repérer.» ....lire tout l'article > http://www.cyberpresse.ca/automobile/article/article_complet.php?path=/automobile/article/06/1,142,0,122004,860319.php |
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Associations patrimoine |
Patrimoine
en danger: Sauvez mon environnement ! Notre-Dame d'Orcival (Puy-de-Dôme) A l'heure où le tourisme de randonnées prend une ampleur jamais égalée, à l'heure où des bénévoles parcourent les sentiers et chemins de randonnées afin de maintenir leur balisage ainsi que leurs accès, à l'heure où l'homme retrouve le besoin de découvrir ou de redécouvrir le patrimoine qui l'a vu naître en se fondant sac à dos dans la nature changeante, un cancer vient d'obscurcir cette démarche naturelle de découverte : les campings caristes fléaux des sites classés. Ceux-ci non contents de squatter pendant trois ou quatre jours deux ou trois places de parking de voitures de tourisme, stationnant anarchiquement dans les villages, ne relevant d'aucune taxe de séjour, se fournissant que dans les centres de grosse distribution, le plus souvent ne transportant que deux personnes voir même une seule, n'apportent rien à la vie locale si ce n'est que leurs poubelles et leurs stationnements abusifs. Tout cela pour informer que Monsieur le maire d'Orcival vient de décider d'implanter une station service pour camping cars sur un site classé. Ce terrain appartient actuellement à l'évêché. Il se situe en contrebas de la D27 à 120 m. environ de la basilique du XIIe s., monument classé. Ce projet étant peu respectueux de l'environnement et du patrimoine classé, il est fort déplorable que l'on défigure ce site pour de l'argent, le propriétaire ayant besoin de finances. Il est donc nécessaire que les personnes sensibles à nos paysages et à notre patrimoine classé s'unissent pour sauvegarder notre environnement. C'est ce que fait actuellement l'association Agir pour vivre à Orcival, malgré certaines difficultés rencontrées... ....lire tout l'article > http://www.associations-patrimoine.org/fnassem/461/473/1276.asp |
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LeJournal |
Une bonne vitalité mais un effectif
moindre Louhans-Chateaurenaud retraités de la fonction publique Soixante-deux adhérents, un buffet copieusement garni et des sourires sur tous les visages. L'assemblée générale de l'amicale des retraités de la fonction publique et assimilés communique l'image d'une association qui fonctionne bien. Mais l'image est quelque fois trompeuse. Car même s'il n'y a pas péril en la demeure, les responsables de l'association, le président Michel Tramblay en tête, déplorent la difficulté à attirer les jeunes retraités. « Notre moyenne d'âge est élevée et on n'arrive pas à attirer les nouveaux retraités. Je ne sais pas comment expliquer ce phénomène. Peut-être que les habitudes changent, les demandes ne sont pas les mêmes. Aujourd'hui, les retraités achètent un camping-car et sillonnent les routes. Nous, club, on ne répond peut-être plus à leurs attentes. » Une réflexion pleine de sagesse du président dont l'association continue à organiser de nombreuses activités. Pour 2005, par exemple, 14 réunions ordinaires sont prévues, trois sorties découvertes d'une journée et deux beaux spectacles à l'Espace des arts de Chalon : « Tricodex », un ballet contemporain de Découfflé et « Le triomphe de l'amour », de Marivaux. Un sacré programme. .....lire tout l'article > http://www.lejsl.com/setl/20041202.JSA0344.html?0826 |
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TF1.archives |
Le camping car à
la télé ! |
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