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Le Journal
de Saône et Loire

20 avril 2004
Le camping-car continue de progresser
L'association de camping-caristes « Bivouac » tient son assemblée générale nationale
cette semaine à Sornay. Pourquoi avoir choisi cette commune ?
« Parce que Sornay s'est équipée d'une borne dédiée aux camping-cars dès 97-98, entièrement gratuite en plus. Nos membres sont passés ici et ont trouvé la commune accueillante.
L'an dernier, un groupe est venu en séjour ici et l'accueil a tellement été bon que nous avons décidé de programmer nos retrouvailles de printemps ici en Bresse. ».
Comment va se dérouler cette semaine de retrouvailles ?
« Nos membres vont arriver mercredi à Sornay et nous élirons un nouveau président dans
la matinée. Jeudi et vendredi, nous avons programmé notre assemblée générale et le forum voyages où seront proposées différentes destinations. Samedi, nos adhérents partiront en bus pour découvrir les sites touristiques de la Bresse et nous nous séparerons dimanche matin.
Si l'association compte 220 membres, nous en attendons 158 cette semaine,
pour 81 camping-cars tous stationnés à Sornay ».
Le camping-car est-il toujours à la mode et quel est le profil du camping-cariste ?
« Oui, le camping-car continue de progresser. En France, l'année dernière, on a enregistré une hausse de 18 % des immatriculations. Quant au profil, le camping-cariste est en grande majorité retraité, il est en couple et s'en sert plusieurs fois par an. Si on prend mon exemple,
je pars 5 fois par an, à raison de voyages d'une dizaine de jours ».
Robert Pichon-Martin, président de Bivouac, association nationale de camping-caristes
Propos recueillis par Olivier Charolles
l'article > http://www.lejsl.com/setl/20040420.JSA0069.html?0822

canalstars.com
16 avril 2004
Paris et Nicole "on the road again"
Héroïnes de The Simple Life (diffusé chaque samedi sur Canal+), Paris Hilton et Nicole Richie viennent d'achever la seconde saison de leurs aventures médiatico-bucoliques. Et pour remercier les deux jeunes femmes d'avoir eu le courage de participer à cette émission, les producteurs leur ont offert... une vache. Une bête tellement adorable qu'elles l'ont amenée avec elles lors d'une petite sauterie, où elles ont eu aussi l'occasion de revenir sur leur nouvelle expédition. Après avoir découvert les joies de la ferme, les deux riches amies ont cette fois-ci traversé les Etats-Unis en camping-car. Une expérience très enrichissante pour Paris et Nicole qui n'ont détesté qu'une chose : avoir dû travailler comme bonnes à tout faire dans un camp de nudistes en Floride ! "C'était vraiment dégoûtant, a raconté Paris. Ce n'était pas un camp avec des gens de nos âges ou excitants... ils étaient tous vraiment très vieux !"
l'article > http://www.canalstars.com/canalstars/canalstars.nsf/wpotincs?open&pn=EAC4257C7EFAEBCEC1256E7800433851
Libération
14 avril 2004
Désarmant
Hans Blix, 75 ans, ex-chef des inspecteurs de l'ONU en Irak. Sans avoir l'air d'y toucher,
le diplomate suédois réaffirme que les armes de destruction massive tenaient du fantasme.

Un «chef des inspecteurs de l'ONU en Irak», ce n'est pas forcément ce qu'on croit. On imagine un super-shérif aguerri aux chevauchées dans le désert de Mésopotamie. Et puis, dans un restaurant parisien, on se retrouve en face d'un Suédois jovial et joufflu, avec le même visage
en forme de poire que Helmut Kohl, la cravate tombant sur la bedaine débonnaire et un regard placide, jamais pris au dépourvu, soucieux de rien. Un semi-touriste qui ne fait pas ses 75 ans ; pour un peu, le camping-car serait garé au coin de la rue. Après le déjeuner, on le suit à l'enregistrement d'une émission de radio : sans bouger d'un pouce de son dossier, il écoute pendant une demi-heure les bulletins de politique française et l'exposé de Jean-Jacques Annaud sur la vie des tigres. Seul le tripotage d'un stylo-bille jaune révèle que tout n'est
pas contrôlé. Bonne poire, Hans Blix ? Pendant six mois, de septembre 2002 au déclenchement de la guerre, fin mars 2003, cet homme fut au coeur de la plus terrible bataille diplomatique des quarante dernières années. Au 31e étage du siège de l'ONU ou sur le terrain en Irak, entouré de ses inspecteurs de la Cocovinu (Commission de contrôle, de vérification et d'inspection des Nations unies pour l'Irak), il a tenu tête simultanément à Saddam Hussein et aux Américains qui voulaient l'entendre dire que oui, les Irakiens avaient bien des armes de destruction massive (ADM). Aux va-t-en-guerre, il a tenté d'expliquer, à mesure que les inspections avançaient, que les ADM de l'Irak tenaient plus du fantasme que de la réalité. Mais sans jamais un mot plus haut que l'autre. «Il n'y a que deux choses qui me rendent nerveux : l'ordinateur, parce que j'ai peur de perdre le texte que je suis en train d'écrire. Et l'avion, parce que je crains d'arriver en retard à l'aéroport.»
l'article > http://www.liberation.fr/page.php?Article=196222
MaVille.com Rennes
13 avril 2004
Noyal brade et les caravanes passent
Du monde et du soleil à la neuvième édition de la braderie spécial camping
Noyal-sur-Vilaine s'est fait un nom avec sa braderie du matériel de camping d'occasion le lundi de Pâques. La neuvième édition s'est déroulée hier dans la bonne humeur et sous le soleil.
Le record de particuliers venus brader leur camping-car, tente ou caravane a été battu.
À Noyal, les caravanes passent et l'on se frotte les mains.
La 9e édition de la braderie « Spécial camping » organisée par l'Amicale du personnel communal noyalais a vécu toute la journée au rythme de ces transactions.
Au-delà de la flânerie d'un jour férié ensoleillé, on y fait des affaires, de particuliers à particuliers. « L'an dernier, confie Pascal Hubert, 52 ans, unique policier municipal et fondateur de la braderie, 56 % des campings-cars présentés ont été vendus. » C'est pourquoi ce rendez-vous est très prisé par les vendeurs, malgré la concurrence des professionnels. On y vient de toute
la France. De Mulhouse, de Lyon etc. Et on arrive de bonne heure. « Il y avait une grande file d'attente ce matin à 8 h à l'entrée, alors qu'on avait ouvert depuis 6 h », ajoute Pascal Hubert, levé, lui, « depuis trois heures du mat ».

Rude journée pour les 62 bénévoles de l'Amicale, tous mobilisés pour l'un des événements de l'année à Noyal-sur-Vilaine. La braderie fait tourner les commerces, colore les rues de la petite ville qui s'offre ainsi un super-camping d'un jour à défaut d'en avoir un au long de l'année.
« Mais je crois que nous aurons bientôt une aire de repos pour les camping-cars »,
s'empresse d'ajouter Pascal Hubert. L'honneur est sauf.

Sur la place de l'Église, les caravanes s'en vont petit à petit, au gré des ventes. Raoul et Germaine, retraités du quartier Sainte-Thérèse à Rennes, attendent de voir partir leur compagne de 30 ans de congés payés. Avec elle, « ils ont fait toute la côte atlantique jusqu'au sud ».
Il y a quelques années, ils sont passés au mobile home plus confortable.
« Comme les enfants ne se servent plus de la caravane, on se résout à la vendre. »
Mais pas question pour Raoul, l'ancien miroitier, de trop brader.
« Depuis ce matin, nous sommes passés de 700 à 500 €. On ne descendra pas au delà ».
Normal : on ne laisse pas partir à n'importe quel prix un tel miroir aux souvenirs.
l'article >
http://www.rennes.maville.com/actu/detail.asp?idDoc=132895&IdCla=7
Sud Ouest
9 avril 2004

Le cinéma fait maison
Au bourg de Meschers-sur-Gironde, il n'y a qu'une seule pancarte pour signaler le chemin du Trogloscope. Et encore, au lieu de filer tout droit vers les grottes troglodytiques, le conducteur averti saura remonter, à sa droite, la rue de La Tonnelle. Au numéro 22, le portail en fer forgé s'ouvre sur un jardin coquet.
C'est ici, entre les maisons du quartier, que se dresse donc ce « Moulin du Trogloscope » auquel les ailes n'ont jamais manqué. En donnant son premier coup de pioche en juillet 1993, Christian Curaudeau, artisan-peintre de métier improvisé bâtisseur hors pair, n'avait guère l'intention d'enfiler la blouse du meunier. Là où d'autres l'auraient volontiers imaginé moudre le blé, lui a préféré aménager une improbable salle de cinéma.
.......
Trouvailles. « Je voulais faire un parc d'attraction. J'ai pensé à un mini-golf. Et puis je me suis dit que cela ne marcherait pas. »
Christian Curaudeau, 46 ans, veut encore être ce grand enfant émerveillé par les parcs d'attractions qu'il visite chaque année, au volant de son camping-car, et qui s'est mis en tête de se fabriquer ses propres jouets. Un sens inné du bricolage, de l'invention, même, mis au service d'une imagination qui ne s'embarrasse pas d'états d'âme adultes ou de diplômes d'ingénieur. Le spectateur peut ainsi voir une réplique de Talmont surgir des eaux de l'estuaire sur la scène du Trogloscope, ou s'amuser des trouvailles offrant un relief aux images projetées.
« Les images plates ne m'intéressent pas », tranche Christian Curaudeau. Chez lui, ce n'est pas une lubie, c'est une obsession : dernière déclinaison en date, les images de synthèse des troglodytes et souterrains de Meschers qu'il s'attelle à concevoir pour le prochain documentaire diffusé au Moulin. Et le manuel d'utilisation d'un logiciel professionnel ne serait pas ici un obstacle......
l'article >
http://www.sudouest.com/090404/une.asp?Article=090404a8424.xml

Le Journal
de Saône et Loire

7 avril 2004
Deux blessés dans une collision spectaculaire
Le poids lourd a percuté de plein fouet le côté passager du camping-car
Hier peu avant midi à Paray-le-Monial, alors que les sapeurs pompiers s'activaient pour éteindre un feu de voiture en centre ville, la sirène retentissait. Neuf hommes du centre de secours, placés sous l'autorité du Lieutenant Lecoq, prenaient alors la direction de Saint-Yan -
plus précisément juste après la sortie du village, sur la RD982 en direction de Marcigny-
où une collision venait d'avoir lieu.
Dans un virage un peu serré, il semblerait, d'après les témoignages recueillis par les gendarmes de la brigade parodienne, qu'un camion de transport immatriculé dans la Marne ait « tiré tout droit » alors qu'un camping-car conduit par un couple de retraités anglais arrivait en face.
Le chauffeur du poids lourd ne pouvait éviter la collision, percutant de plein fouet le flanc gauche du camping-car -donc côté passager puisqu'il s'agissait d'un véhicule anglais.
Si le routier sortait indemne mais abasourdi du choc, les Smith devaient quant à eux être pris en charge par les pompiers et le SMUR qui les transportaient directement sur le centre hospitalier de Paray-le-Monial. Monsieur sortait légèrement blessé, madame, plus gravement touchée et choquée selon les secouristes, restait en observation à l'hôpital, sans pour autant que ces jours ne soient en danger. Leurs vacances, en revanche, prenaient une fâcheuse tournure. Sur place, on notait aussi la présence du maire de Saint-Yan, du médecin de la même commune ainsi que le personnel de la DRI chargé de régler une circulation relativement fluide à cette heure-ci.
l'article >
http://archives.lejsl.com/cgi/jsl_handle?artid=/setl/20040407.JSA0407.html
Les Nouvelles calédoniennes
4 avril 2004
Les voyageurs du porte-conteneurs
Assis tranquillement dans le salon des passagers, Gérald, 73 ans, bouquine.
Il a quitté le port de Tilbury, en Angleterre, fin janvier. Pour rendre visite à sa sœur
en Australie, iI a choisi le cargo comme moyen de transport.

« Je n’aime pas l’avion. Je n’en ai jamais pris et n’en prendrai jamais. Maintenant que je ne travaille plus, j’ai du temps pour voyager. » Du temps, il en faut... Pour rejoindre sa sœur, Gérald, ancien fabricant de bijoux, a voyagé pendant 52 jours. Pour rentrer chez lui, dans son Angleterre natale, il devra réembarquer sur un cargo, pendant 32 jours.

Plus de problème de décalage horaire
Ingrid est également montée à bord. A la retraite, elle voyage avec son mari. Ils ont quitté l’Europe au mois de juin dernier, et ont rejoint la Nouvelle-Zélande par la mer. « C’est ma fille qui nous a suggéré ce type de transport et je ne suis pas déçue. » Bronzée, souriante et reposée, elle vient de passer sept mois en Nouvelle Zélande. « Nous avons acheté un camping-car et visité ce merveilleux pays. Nous avons vendu le véhicule la semaine dernière et rentrons à la maison, doucement, doucement. » Habituée aux croisières de luxe sur des paquebots, Ingrid, vêtue d’un simple short et d’un tee-shirt, est envoûtée par cette nouvelle expérience. « Ici, tu as la paix. Tu fais ce que tu veux. Il n’y a pas d’aquagym à 8 heures ou de danse espagnole à 10 heures. Tu t’habilles comme tu veux. C’est moins « frime » que sur un paquebot. Et le bateau est si grand, que si quelqu’un te barbe, tu peux ne pas le voir de la journée. »
Ecrivain, cette femme met à profit le calme et le temps de la traversée pour travailler sur un manuscrit.

Cargo = hôtel trois étoiles
Le confort à bord de ce type de navire s’apparente à celui d’un hôtel 3 étoiles.
« Le premier cargo sur lequel nous sommes montés, nous avions deux pièces dans notre cabine, un frigidaire, la télé, la vidéo, le sèche-cheveux et la machine à café. Le soir, nous allions au mini bar et pouvions consommer tout type d’alcool. » Sur les bateaux, les journées sont longues et les escales rapides. Une bibliothèque, une petite piscine couverte et une salle de sport sont à la disposition de l’équipage et des « touristes ». Effectuer un tour du monde sur CMA/CGN Utrillo coûte environ 1 137 500 F. Il est possible d’effectuer de plus courts trajets. La journée est évaluée à 13 541 F. Ces tarifs varient selon les flottes.
l'article >
http://www.info.lnc.nc/caledonie/20040405.LNC4884.html?0532
Le Progrès
2 avril 2004
Foire de Bourg : comme sur des roulettes
Il y a les trois halls, mais il ne faut pas oublier les extérieurs du parc. A la foire de Printemps cette année, un petit tour au soleil fait du bien. ....
Ainsi pour la première fois depuis des années, les camping-cars sont présents. Deux professionnels de Saône-et-Loire et d'Isère présentent une bonne quinzaine de véhicules toutes gammes, car, avec intelligence, ils se sont mis d'accord pour présenter des modèles différents.
Après six jours sur la foire, ces nouveaux exposants présentent un premier bilan.
Pour Lionel Delery de Waycamp, une société installée à la Buisse, le constat est plutôt bon.
« Il y a beaucoup de monde c'est sûr. Pour être franc, ce sont surtout des prises de contacts. Les gens visitent les véhicules posent des questions, demandent des cartes ».
Car on n'achète pas un camping-car comme une paire de moufles. « Nous sommes venus pour prendre la température. On sait que les gens vont maintenant réfléchir puis nous contacter ou attendre la prochaine foire pour finaliser leur rêve ». Pour Lionel Delery, c'est aussi l'occasion
de tester le terrain. « Nous envisageons de nous installer dans le secteur. Si ça se fait cette foire aura servi à nous faire connaître ».
Et pour cela, la foire de Printemps se révèle une excellente vitrine.

l'article > http://www.leprogres.fr/infosdujour/ain/303075.html
Le Journal de
Saône et Loire

1 avril 2004

Nouveau à Chauffailles
La municipalité a renoncé à l'aire de camping-car pour créer à l'Aye un emplacement réservé aux nomades. Les propriétaires, Mme et M. Morin, ont cédé gracieusement leur terrain à la municipalité qui, du coup, les a désigné gérants du lieu. Ouverture ce 1er avril 2004.

l'article >
http://archives.lejsl.com/cgi/jsl_handle?artid=/setl/20040401.JSA0117.html

avril 2004 du plus récent au plus ancien.
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