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Michel M.
Je voudrais résumer la mésaventure qui nous est arrivée de retour du Maroc
à San Pedro de Alcantara (Malaga) victimes de sévices de la police de
Marbella.
Résumé du 1er Episode
fin février 2002 :
Nous dormons à plusieurs VDL sur un parking proche de la plage et bordé
d'un terrain non bâti. Minuit, de violents coups nous réveillent, la
police nous vire voulant nous faire aller dans
un camping, à minuit !
De retour plainte au consul de France à Séville, difficile d'identifier
ces voyous,
on pense qu'ils ont du se faire remonter les bretelles et qu'on pourra
stationner à nouveau.
2e épisode
fin février 2004 :
Même lieu, même décor, 9 heures du matin. Nous petit déjeunons
tranquillement lorsque
les mêmes voyous nous intiment l'ordre de partir "now". Fort de mon bon
droit je refuse d'autant qu'il est matériellement impossible de décoller.
On leur dit d'accord quand nous serons prêts.
Et de finir le petit déjeuner, on n'allait quand même pas le jeter. Ils
reviennent à la charge,
même réponse de notre part, alors ils exigent les passeports. Pendant
qu'ils notent nos identités, je relève avec ostentation le numéro de leur
véhicule afin que ma plainte soit cette fois précise. Menaces : si je ne
pars pas immédiatement : "I arrest you". Toujours notre même réponse, je
lave la vaisselle pendant que mon épouse fait un brin de toilette, puis
elle l'essuie
et je passe à mon tour à la toilette. Nouvelle intervention de ces shérifs
qui s'en prennent à mon épouse, veulent qu'elle prenne le volant ce que je
le lui interdit, elle n'a jamais conduit le VDL, 6,65m de long, ils
l'auraient menottée s'ils avaient pu. Bien que nu, je sors de la toilette
le ton monte, et ils me menacent avec les menottes. Finalement, je suis
présentable, le VDL est rangé, et calmement nous partons au moment où une
deuxième voiture, de renfort sans doute, arrive. Ils sont vraiment c...
car nous avions besoin de faire une escale technique dans un camping et de
toutes façons, une heure plus tard nous serions partis ! Soit dit en
passant, la nuit précédente il nous avait fallu aller dans un camping à
20km d'Estepona, terrain pentu, boueux, j'ai failli m'enliser en voulant
caler, bloc sanitaire bordé par une bande boueuse, bref on est reparti
de suite, ça nous coûté 19€.
Dès mon retour at home, plainte à nouveau par eMail au consul de France,
et contact avec Ruquier espérant que ces
méthodes honteuses seront
portées sur la place publique. Il faut le faire !!! De mon coté je m'y
emploie. J'ai rencontré au Maroc un camping cariste 100% hispanophobe qui
s'est juré de ne plus mettre un pied en Espagne pour cause
d'insécurité, il embarque à Sète pour Tanger.
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Georges C.
Il fait très beau ce dimanche à Nyons.
Sur l'aire des camping cars nous sommes 5 véhicules.
Ma femme étant fatiguée nous nous reposons.
Une voiture rouge arrive, se gare entre les 2 camping cars qui sont en
face de moi, un individu d'environ 25 ans sort de la voiture et passe
derrière les 2 camping cars, regarde dedans.
Il n'a pas l'air très net ce mec, nerveux, inquiet...
Il repart avec sa voiture (peut-être ?) et revient quelques minutes plus
tard se garer de mon coté entre le 2ème et le 3ème camping car : invisible
pour moi.
Je sors pour voir ce qu'il trafiquait et je rentre chez moi.
Un bruit de porte, puis un autre bruit....
Je téléphone au 16 et j'ai du mal à avoir la gendarmerie de Nyons.
Je signale au gendarme que j'ai au bout du fil qu'un individu est entrain
de faire
des camping cars et je lui donne le numéro du véhicule.
Il me remercie et me dit qu'il ne peut pas intervenir car il est seul.
La gendarmerie est à environ 400 mètres et moi aussi je suis seul avec ma
femme !!!!!
Comme je n'ai pas envie de l'affronter, les flics non plus d'ailleurs,
je mets mon véhicule en marche et je m'en vais.
Je prends la direction de Valréas. Il y a des travaux en ville sur environ
500 mètres
et des feux pour passages alternés.
Nous sommes 4 ou 5 véhicules en attente du vert. En face les voitures
circulent.
Dans mon rétro je vois arrivé en trombe une voiture rouge, toujours la
même qui grille le feu
et slalome avec les voitures d'en face.
Je rappelle la gendarmerie pour leur signalé la direction du fuyard.
Le gendarme me répond qu'il s'agit d'une voiture volé et qu'il est
toujours tout seul.
Conclusion :
- le week-end les voleurs peuvent travaillés tranquillement, mais les
braves gens peuvent-ils
se reposer en toute tranquillité.
- Nyons que je connaissais depuis de nombreuses années n'est pas plus sure
qu' un autre endroit lorsque nous avons à faire à un individu traqué qui
veut du fric.
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