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Achille A.
Moi j'ai pratiqué du camping, souvent sauvage, pendant une bonne quinzaine
d'années.
Puis du caravaning, également souvent sauvage, pendant 20 autres années.
Et maintenant, depuis plus de 10 ans je pratique du camping-car, la
plupart du temps en sauvage.
Seulement voilà, je module: aires et parkings en morte-saison touristique
ou dans les endroits peu fréquentés, et campings dans les endroits
fréquentés en été.
Moi, le soir à l'étape, (je m'arrête de bonne-heure, vers 16h au plus
tard) j'aime bien m'étaler
un peu, sortir la table, dérouler l'auvent si nécessaire, prendre une
vraie douche et me taper
une ou deux bonnes bières bien fraîches. Choses qu'on peut difficilement
faire sur une aire
en été, quand les camping-cars sont agglutinés à 60 cm l'un de l'autre. Où
est alors le plaisir?
Sur un camping, on a en général un emplacement de 10x10 m, et sortir les
tables et chaises, ouvrir l'auvent, sont des choses naturelles. Bien sûr,
ça coûte un peu d'argent.
Mais bon, faut savoir ce qu'on veut. Et avec mon système, en 50 ans de
camping je n'ai pas
eu un seul problème, je ne me suis jamais fait jeter ni verbaliser ni
engueuler.
J'ai pourtant visité des tas d'endroits où le stationnement sauvage des
camping-cars était interdit, tels: côte d'azur,Ile de Ré, La Baule,
Autriche, Allemagne, Hollande; et j'en passe.
Je répète: jamais un problème.
Mais bon, chacun sa technique. Mais il ne faut jamais perdre de vue les
autres, les habitants
des lieux que nous visitons, et rester civilisé et discret pour ne pas
trop les perturber.
Et ne pas aller stationner sur leurs pelouses ou dans leurs cours.
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Michel L.
à propos de "Charmes" mon avis :.
Je me permets de répondre ayant vécu à peu près la même mésaventure.
Je voulais donc voir cette fameuse ex-meilleure aire de l'année.
Je suis arrivé,avec mon frère(donc 2 c/c) vers 18h,un jour de mai.
Plus de place,chacun s'étant bien étalé,en prenant bien garde de ne pas
laisser une place susceptible d'être occupée.
Il restait 1 ou 2 place sous un grand peuplier,nous nous y sommes donc
garés.
Mais les sourires de ceux qui sont si prompts à faire signe lors d'un
croisement
me laisse perplexe.
Pas pour longtemps,nous étions sous une corbeautière,avec tout ce qui s'en
suit....croassements incessants et pire,fientes.
Donc,impossible de rester là!!
En sortant,nous avons croisés l'agent receveur,et,gentiment,je lui ai fait
remarquer que si certains véhicules étaient mieux garés,ils y auraient
d'avantage de ccars.
C'est pas mon problème rétorqua-t-il,et ce,à juste titre.
Guide en main,nous avons trouvé,à 2 pas de là,mais sur l'autre rive un
camping bien plus accueillant et que je recommande à l'occasion.
Question:une aire comme celle de Charmes est elle un endroit pour garer
uniquement des ccars ou un petit camping avec déballage?
voilà ce que je tenais à dire
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François G.
ah l'attrait du
bord de la plage, entre l'odeur de saucisse du camping-car
de gauche
et de choux-fleur de celui de droite...
A Saint-Pol, nous n'y avons passé qu'une seule nuit car les enfants
voulaient profiter pleinement de la plage qui est très belle à marée
haute.
Par contre, nous avons par la suite trouvé un petit coin que je transmets
à Alain pour compléter sa liste de BTS. Un petit parking au bord de la
mer, avec accès direct à la plage (très belle, elle, à marée basse mais
baignade impraticable à marée haute pour cause de rochers affleurants)
et qui a l'avantage d'être en contrebas des maisons environnantes. Le
véhicule ne gêne donc pas la vue. C'est un énorme plus. Le plus drôle est
que nous avons connu son existence
par un couple de camping-caristes qui ne voulaient pas y passer la nuit
tout seul !
Par contre, le fait de quitter la mer a tout de même un inconvénient quand
on recherche un peu de fraîcheur comme ce fut le cas pendant ces derniers
jours. C'est ce que nous avions fait à Clohars-Carnoet (Finistère sud, 3
km de la mer). Conclusion : comme nous étouffions littéralement (6 à
bord...) j'ai quitté la capucine un peu après minuit pour prendre le
volant en pyjama et venir me garer tout près de la mer. Le hic, c'est que
l'endroit choisi n'a pas plu à un propriétaire qui réside un peu plus haut
et qui me l'a fait comprendre à 7 heures du matin en me déposant un petit
papier sur mon pare-brise. Par souci de ne pas donner une image négative,
je n'ai pas insisté même si je pense encore que j'étais dans mon droit
(pas de déballage
donc assimilable à n'importe quel véhicule particulier) et ai quitté les
lieux pour revenir
à Clohars terminer ma nuit.
De toute façon, cela m'a permis d'acheter du pain frais et des croissants
pour le petit-déjeuner !
Une dernière précision, c'était la première fois que nous nous rendions au
bord de la mer
en cette saison. J'ai vu et j'ai conclu !
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Jean Claude
à propos de "La Wallonie" mon avis :.je suis belge et résident en
France depuis plus de 20 ans.
Je vais régulièrement en Belgique, j'ai même stationner et dormi a
Bruxelles sans aucun problème. A côte belge j'aime bien aller à Kosijde et
pour stationner je n'ai eu aucun problème, et cela pendant les vacances de
pâques; et il y avait un monde fou le long de la digue.
Quand à la Wallonie vous allez dans les petit villages vous n'aurez aucun
problème, les gens sont même très accueillants. Mais encore une fois
respectez l'environnement et tout ira très bien. Ou je ne suis pas
d'accord c'est quand ont dénigre les belges et allemands qui restent
scotcher à une place pendant des jours et déballent tout , je peux vous
assurer que j'ai remarqué
cela de la part de beaucoup de français aussi pourquoi toujours dénigrer
les étrangers.
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Bruno A.
Plus ça va, et plus je pense que l'autorégulation devrait faire son effet.
Je vais essayer de m'expliquer par l'exemple.
Tout récemment, une collègue de mon épouse lui a rapporté une tentative de
baignade sur
la plage près de Sète (34) : tous ceux qui sont passé par là en
saison connaissent cette grande ligne droite, coincée entre mer et étang,
et où s'agglutinent tout l'été des dizaines de Ccars.
La place y est tellement chère que certains ne quittent jamais leur
parking, et n'hésitent pas
à vidanger dans la dune ou la mer à la nuit tombée.
Au résultat, fin août, le lieu devient intolérable de saleté et de
puanteurs. Les vacanciers
se plaignent car non seulement la plage reste difficile d'accès, mais en
plus les nuisances s'accumulent. Les commerçants relaient. La population
locale commence à maugréer.
Les autorités locales n'ont jamais rien fait pour empêcher les CCars de
stationner et camper
à cet endroit : il faut croire que la commune y trouvait un bénéfice.
Maintenant, le bénéfice risque de ne plus être compensé par les nuisances.
Au total, on peut supposer que des mesures seront prises pour remédier au
problème.
On peut imaginer :
- au pire que la commune interdise le parking des CC (barres ou bornes)
- au pis, qu'elle décide enfin de faire respecter la loi minimale
(limitation du stationnement
à une semaine et interdiction du camping)
- au mieux, qu'elle aménage des parkings (il y aurait déjà un projet
d'aire de services
dans cette zone), avec nuitées payantes en durée limitée comme cela se
fait par ailleurs.
Dans tous les cas, ces mesures seront dissuasives pour les ventouses (sauf
peut être la seconde).
Dans la première hypothèse, tout le monde a perdu
et les CCaristes en liberté
les premiers.
Dans le troisième cas, tout le monde devra s'adapter à cette
mesure de régulation
liée au surnombre.
Au total, je pense que les utilisateurs qui abusent de leur privilège
auront généré eux-mêmes
la mesure de régulation.
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Jean François C.
la situation décrite sur la plage (splendide en autre) qui est située
entre Sète et Marseillan-plage est sûrement véridique, cette année
je n'y suis pas passé par là, mais l'an passé des sétois m'avaient
rapporté à peu près les mêmes propos. et un article sur la presse locale
avait relaté les faits. Il faut reconnaître que chaque année le phénomène
sur le littoral prend de l'ampleur ; mais la presse locale profite aussi
de l'occasion pour meubler ses pages à éditos touristiques, de ce fait
elle apporte de l'eau au moulin des anti-camping-cars. La municipalité de
Sète avait évoqué le problème après la saison, d'après les échos il devait
se faire une aire de service pour camping-cars, apparemment il y a eu du
retard.
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Marta J.
NOUS REVENONS DE CORSE CETTE ANNEE BELLE ILE MAIS A NE PAS FAIRE EN
CAMPING CAR REFOULEE DE PARTOUT OBLIGEE D' OCCUPER LES CAMPINGS AUCUNE
AIRE POUR CAMPING CAR LES PLUS BEAUX COINS NOUS SONT INTERDITS!!! EN PLUS
CERTAINS CAMPING SONT ASSEZ CHER POUR LA NUIT COMPTER 25€ MINIMUM QUELQUE
FOIS VIDANGE EN PLUS SANS EQUIPEMENT POUR CAMPING CAR ON PAYE POUR NE PAS
"DEVALORISER LE PAYSAGE" MAIS ON REPART AVEC UN C CAR PLEIN FAUTE DE
STRUCTURE ADAPTER POUR NOUS. LES C CAR SONT PAS DU TOUT APPRECIER UN CORSE
QUI AVAIT LOUER UN C CAR POUR VISITER LEUR ILE ON ETE SURPRIS DE VOIR LA
GALERE DES C CAR ET NE PENSAIT PAS CE PARCOURS AUSSI DIFFICILE. MERCI POUR
NOUS QUI AVONS PAYE UNE TRAVERSEE EN BATEAU CHERE POUR NE PROFITER DE LA
CORSE DE MOITIE CAR ON NOUS ACCUSE DE NE PAS ETRE DES CONSOMMATEURS. JE NE
PENSAIS PAS QU' UN C CARISTE POUVAIT VIVRE DE SES RESERVES PENDANT 3
SEMAINES! SANS COMPTER LE PRIX DU GASOIL ROULE T' ON AU COURANT D'AIR
AUSSI? BON COURAGE AU PERSONNES QUI S' ATTAQUERONT A CE PERIPLE!!!
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Gérard B.
P A R A S I T E S
Le samedi 16 août 2003, nous nous arrêtons à CHEF BOUTONNE (79) pour
passer la nuit sur l'aire de stationnement réservée au C.Cars.
Le village est agréable. Un gros effort a été fait pour les camping cars
et nous disposons d'un très bel emplacement pouvant accueillir un grand
nombre de C.C mais nous sommes 5 ou 6.
En plus du stationnement, une aire de service est mise à notre disposition
gratuitement avec des WC, des lavabos, des éviers et même un bac à laver.
Pour couronner le tout, des prises (2) 220 Volts au-dessus des lavabos.
En visitant les lieux, je remarque que sur les deux prises, sont branchées
deux rallonges.
Donc plus d'électricité.
Je suis le premier fil pour arriver à un C.C. Eriba sur Renault Trafic
immatriculé dans le Morbihan (56) (Si j'ai le n° complet ? Bien sûr !)
La deuxième rallonge me conduit à un C.C stationné à côté du notre.
Il est beau ce BURSTNER avec sa parabole et sa "grosse télé".
Pas de photo pour lui ? Si si, attendez !
Allez, on ne va pas en faire un fromage. Si j'avais eu besoin
d'électricité,
mon voisin m'aurait peut-être proposé de me brancher sur "sa rallonge".
On continue donc notre voyage et mardi 19 août 2003, le matin, nous
arrivons,
pour faire nos vidanges, à SAINT GERMAIN DE MARENCENNES (17)
(où nous avons déjà dormi le dimanche soir).
Surprise, notre voisin parasite est là. Avec sa parabole. Avec sa grosse
télé. Et bien entendu avec sa rallonge. Voilà pourquoi il nous avait dit,
dans les premières minutes où nous l'avions vu, qu'ils n'allaient qu'aux
endroits où il y avait de l'électricité. Et comme de bien entendu,
à St Germain de Marencennes, la commune nous l'offre gratuitement.
Là, pas besoin de suivre le fil. (Si j'ai son n° ? Euh.... non non ! )
Et alors ? ............... Chacun en pense ce qu'il veut mais si un jour
nous étions 9 sur 10
à avoir un tel comportement, où irions nous ?
Une précision d'importance, nous n'avons rien contre les paraboles ni
contre les grosses télés.
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On continue ? >>> |
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