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J’ai eu une crevaison avec mon CCar joli.
Et bien sûr c’est là qu’on s’aperçoit d’abord que le cric est inutilisable
(gadget).
On appelle le technicien idoine, avec sa belle dépanneuse pas en panne…
Il a un beau cric, ça marche.
Alors il demande la roue de secours.
Toute neuve, jamais servi, génial.
Dites : « avez-vous les boulons qui vont avec ? »
« Quels boulons ? »
« Ben, des boulons plus courts, car vos jantes en alliage sont montées
avec des boulons longs, alors que votre roue de secours est en acier
traditionnel, donc moins épaisse
et il faut alors des boulons courts ! » cqfd.
Gaby Rambault.

ah ! ma première fois c'était....il y a à peine deux mois. Nous avons
ressentis une très forte émotion quand nous avons mis les pieds dans ce
merveilleux moyen de transport dont nous sommes tout de suite tomber
amoureux. Nous avons tout de suite penser à créer un fan club mais à deux
c'est pas évident. Nous avons parcouru 10 kilomètres à peine avant de
devoir
le quitter... quel déchirement!!! Nos coeurs se sont brisés quand ces
hommes en bleu nous ont barrés la route sur ce petit chemin de campagne
pour nous emmener... où qu'ils disaient...
au poste. Aujourd'hui nous n'avons toujours pas compris nous n'avions fait
qu'emprunter le camping car de nos voisins dont nous étions tomber
amoureux.
Quel mal y a t-il à aimer!!!
Gaa Cotty

La première fois, c'était début avril juste pour un week end.
Au départ, pas de frigo, ni d'eau chaude, mais ce n'était qu'une mauvaise
manipulation
de notre part. Cependant nous avons du attendre l'ouverture du
concessionnaire vers 9 heures pour obtenir notre information et prendre la
route.
Direction Le Tréport avec l'angoisse de trouver une aire, d'y avoir de la
place, de pouvoir dormir, etc..... L'angoisse de la 1ère fois.
Arrivés au Tréport, nous n'avons pas trouvé de place pour stationner et
nous avons continué notre route vers saint Valéry en Caux où à 16 heures,
il restait peu de places sur l'aire de service, qui est gratuite et assez
agréable, en bordure
de mer et près du centre ville. Mais il faut prendre deux places pour
pouvoir sortir du camping car car nous sommes garés l'un contre l'autre.
Je m'en rappellerais de cette première nuit,
où je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit : dormir en capucine était nouveau
et j'ai fait une crise
de claustrophobie. Maintenant après un deuxième voyage, j'ai trouvé ma
place et mes habitudes et je dors, si ce n'est les ronflements de mon mari
qui m'en empêchent. Donc debout très tôt,
et départ pour Étretat que nous avons visité sous un petit crachin et un
temps gris. A part cela, j'ai trouvé Étretat très jolie avec de belles
balades à faire, que nous n'avons pas faites vu le temps. Nous avons pu
nous garer sur un grand parking après le clos lupin (maison du créateur
d'Arsène Lupin) en direction de Dieppe. Mais impossible d'après l'office
du tourisme d'y rester la nuit. On nous a indiqué un endroit près de la
gendarmerie qui ne nous a pas semblé terrible
et de toute façon nous devions rentrer. Mais il y a un camping à 7/8 euros
à la sortie de la ville direction Dieppe. Après un bref passage au cap
d'Antifer près du Havre et au Havre, nous avons repris le chemin vers
Reims via Rouen. Plus de 800 kms en deux jours, trop fatiguant car pas
assez de temps de repos et à ne plus refaire.
et la deuxième ?
Nous rentrons de notre deuxième voyage en ccar pour la Normandie et vos
conseils nous ont été précieux. Je tiens à remercier par la même occasion
à toutes les personnes qui m'ont déjà répondu à diverses questions. J'ai
quelques infos sur des aires et voici mon petit périple.
Après une visite au pont de Normandie, nous sommes arrivés le 1er mai
àHonfleur où bien entendu on ne nous attendait pas. Il y avait un monde
fou.
Nous nous sommes rendus sur l'aire à 7 euros les 24 heures, gardée depuis
peu par un policier de 9 heures à 21 heures. La nuit, il paraît que la
police nationale fait plusieurs rondes, mais bien entendu, la nuit je dors
et je n'ai rien vu. Cette aire n'est pas très calme, vu le nombre de
campingcars qui arrivent et partent à toute heure de la nuit et les
toilettes sont un peu vétustes, mais elle a le mérite d'être prés du
centre et de toute façon, nous n'avons rien trouvé d'autre pour nous garer
sans crainte. Il y a des barres à 2 m et même moins partout.
Le lendemain, après une grande balade, nous sommes partis pour Deauville
où nous avons pris l'avant dernière place (il n'y a que 8 places) sur
l'aire gratuite assez près du centre ville également. Je tiens à préciser
que dernièrement, la municipalité a rénové l'installation des prises
électriques et de la borne en général. Tout fonctionnait. Mais nous avons
remarqué que de nombreux camping car stationnaient sur un parking prés du
pont qui va à Trouville. Après une nuit tranquille dans un camion agité
par la tempête de vent, nous sommes partis pour Cabourg, où si les
parkings sont gratuits, nous n'avons pas trouvé de places pour passer la
nuit (notre présence serait tolérée sur le parking du port qui est tout
petit et était déjà occupé par des voitures), et nous avons continué vers
Lisieux.
L'aire municipale où 3 places de parking nous attendaient sur le bord d'un
parking ne nous a pas satisfait, et l'office de tourisme ne nous a pas
conseillé l'aire "la ferme sous les pommiers", fermée selon lui. Pourtant,
il y avait des camping cars d'installés, mais quand nous y sommes passés,
un homme bizarre ne parlant pas français nous y a accueilli sans pouvoir
nous renseigner. Si vous avez des infos..........
De ce fait, nous sommes repartis vers Pont l'Évêque où nous avons passé la
nuit au camping
du stade pour 8 euros 20. La propriétaire était très sympathique.
Et notre voyage se termina par une visite éclair à l'abbaye de Jumièges,
car nous avons perdu du temps avec un voyant rouge qui s'allumait sur le
tableau de bord (apparemment il y avait de l'eau dans le gasoil et nous
avons purgé) et les méandres de la seine qui nous ont joué des tours et
nous ont fait faire beaucoup de kms.
Ce deuxième voyage nous a ravi et nous espérons en faire encore beaucoup
d'autres
aidés par les conseils et indications de tous
Martine Doucède.

ah ! ma première fois c'était....
en 1997, année où j'avais fini par craquer pour une superbe capucine
d'occasion, presque neuve, achetée chez un concessionnaire de la Côte
d'Opale, là-haut dans le Nord.
Une semaine de préparatifs divers et en route pour la Bourgogne.
Première surprise : le coût du péage (prohibitif) entre Calais et Reims :
presque aussi cher qu'un semi-remorque !
Depuis, je je ne me sers plus des autoroutes qu'à l'étranger où elles sont
souvent gratuites.
Le soleil nous a bien accompagné un moment puis, du côté de Beaune, a
disparu subitement. Deuxième surprise : le ccar est nettement moins sympa
sous la pluie.
Qu'à cela ne tienne : cap vers Vézelay plus au sud. Mais il faisait
toujours aussi froid et gris
en ce week-end de Pâques. Balades obligées sous la pluie, de quoi attraper
la crève pour
pas un rond... et c'est ce qui arriva ! Troisième surprise : 39° de fièvre
en camping-car, à 600 Km de chez soi, c'est pas génial. Surtout lorsque le
conjoint - ma femme - doit tout gérer : la route, le chien, les filles qui
se disputent sans arrêt et le mari enfoncé sous sa couette dans la
capucine et qui ne rêve que d'une chose : la quiétude d'un vrai lit !
Bref, une première expérience plus que mitigée. Mais nous nous sommes
accrochés et depuis, nous sommes devenus des inconditionnels même si, de
temps à autre,
quelques grains de sable viennent gripper la belle machine...
Bertrand Spiers

ah ! ma première fois c'était....c'était avec un camping car d'occasion,
afin de tester
si le dos de mon mari résistait aux voyages après opération d'une hernie
discale;
Via la Hollande ayant rêver de voir les tulipes pour notre premier séjour.
Faisant le plein vers la frontière avant de prendre l'autoroute, le gérant
nous voyant arriver lève les bras en l'air pour nous stopper. Il avait
déceler un roulement anormal de la roue arrière;
OUF, une déchirure du pneu sur 3Ocms. nous menait droit à l'éclatement
hors rien ne se sentait à la conduite.
On change les pneus et voyage splendide.
Au retour nous envisageons d'acheter un camping car plus récent ayant
quelques déceptions.
Et la première fois avec ce nouveau véhicule d'occasion, en parfait état,
nous emmène au MAROC, 6 semaines et retour par l'ANDALOUSIE, pour les
fêtes Pascales.
Pas de place en camping. Après Cordoue nous trouvons à camper près d'une
ferme en hauteur de la ville vue superbe sur la mer, avec l'accord du
fermier. Au retour de son troupeau de chèvres, une bonne cinquantaine, une
des bêtes n'appréciant pas notre présence nous enfonce la porte avant
droite... rien à dire ,c'est du camping sauvage... mais le pus drôle ,
vers minuit des secousses du véhicule, des grognements anormaux, nous
réveille, imaginez ma frousse. Mon mari guette; nous étions pas très loin
d'un petit bois, et j'avais mis un plateau de fraises
au frais sous le véhicule pour la nuit. Mais des cochons noirs avaient
senti 'l'odeur...
et étaient en train de se régaler. Ils n'ont rien laissé.
Cette aventure ne nous a pas refroidi du camping sauvage et reste un
souvenir cuisant.
Jean et Françoise.

eux aussi ils ont eu
leur
première fois >>>
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