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stationnement - rien n'arrête les ccars - camping tendancefête européenne - BTS à Bar le Duc
La Nouvelle République
30 juillet 2006

transmis par Monique Diot

Partir avec sa maison sur roues : le camping-car des “ papy-boomers ”
Ils sont nés à l’époque du “ baby-boom ”,arrivent à la retraite ou y sont tout juste…
Le camping-car — de haut de gamme — leur donne des ailes
et il n’y a plus moyen de les tenir à la maison !

Le gaz à tous les étages et l’eau chaude sur l’évier ? On serait presque tenté de reprendre les formules de jadis pour les camping-cars d’aujourd’hui. A condition de ne pas taper dans le bas de gamme, du style vieux fourgon aménagé au contreplaqué pendant les week-ends avec rideaux de cretonne piqués par maman.
Non, le camping-car qui roule aujourd’hui, c’est le hors normes, celui qui frôle le luxe ou s’inscrit franchement dedans. « Le haut
de gamme fonctionne bien, car on est vraiment sur le marché du baby-boom. » Chez Azur 37 à Parçay-Meslay, sortie de Tours,Carole et Patrick Maistriaux
tapent dans le haut du catalogue.
Ils voient débarquer les baby boomers à la cinquantaine furieusement voyageuse, ceux qu’on n’arrive plus à tenir à la maison.
« Depuis quelque temps, la clientèle du camping-car rajeunit,mais ceux qui viennent juste de prendre leur retraite ou se préparent à la prendre sont encore les plus nombreux. Tous ont une seule chose en tête : la liberté de partir à tout moment ! Un vrai état d’esprit qui repose sur la liberté d’être chez soi, de voyager à son rythme en gardant une partie de ses habitudes sédentaires, sans avoir de valises à faire et défaire. »

Devant la gamme de chez Hymer qu’il distribue, Patrick montre un modèle à 72.000 € tout compris. « Avec stores, auvent,panneaux solaires, caméra de recul, télévision, alarme…
Les gens veulent avoir tout et être vraiment indépendants. »
Une clientèle richissime ?
« Pas du
tout. Il y a beaucoup d’employés,d’ouvriers qui se sont privés une bonne partie de leur vie. Le camping-car, c’est l’achat plaisir, la dernière grosse dépense de la vie.
On fait fréquemment des plans de financement. »

Tout cela au nom d’un sacro-saint principe la liberté totale de s’arrêter

« à l’endroit où ça nous plaît »
,même si des municipalités sont aujourd’hui restrictives.
Même si aussi on trouve parfois 25 camping-cars alignés comme…
au camping sur une place de village!
Autres budgets chez Notin,
« La passion sur mesure » depuis…quatre-vingt-cinq ans.72.000 € ? Pour ce constructeur de la Loire, c’est le plancher.« Nous sommes les plus anciens en Europe
et nous sommes connus pour représenter le très haut de gamme, des produits personnalités,à la demande »
, raconte Gisèle Bruand, directrice commerciale de cette affaire familiale qui affiche
« A vous les grands espaces
» dans sa publicité. De fait,si les prix démarrent à 70.000 €,ils grimpent jusqu’à plus de200.000 € à l’autre bout de l’échelle. Au nom du “ où on veut et quand on veut ”,la liberté a un coût mais pas de prix« Nous avons une clientèle de grands voyageurs, des gens qui ont les moyens, et sont absents de chez eux jusqu’à six mois par an,ajoute-t-elle.
C’est un choix de vie
de leur part. » Mais curieusement, Notin vend du très haut de gamme
à des chefs d’entreprise qui, bridés toute l’année par leur agenda, s’approprient le principe
de base du camping-car :« Où on
veut et quand on veut » ! « Ils sont habitués aux hôtels
pour leur travail et nous disent à peu près tous la même chose : on veut avoir la liberté totale
de partir sans avoir à faire de réservations. »
Et cette liberté-là, si elle a un coût non négligeable qui fera pâlir le Français vacancier moyen,
n’a pas de prix.
L
aurent BERTAGNOLIO

Sud Ouest
4 juillet 2006

Stationnement ou camping sauvage?
Ce nouveau mode de loisirs de tourisme fait désormais partie de notre paysage et que l'on aille à la mer ou à la montagne, on y croise toujours des campings-cars. Certes, pour ceux et celles qui aiment ce type de vacances où l'on n'est pas obligé de louer un emplacement pour plusieurs jours au milieu de tentes ou caravanes, c'est l'idéal. On s'en va visiter un lieu, il fait beau alors on y reste. Il pleut ? Pas de problème on peut partir plus loin.
La liberté......
Aires d'accueil. La commune de Lège-Cap-Ferret a fait un très gros effort financier cette année pour améliorer l'accueil de ces véhicules. Ce sont pas moins de seize emplacements qui ont été aménagés dans l'enceinte même du camping municipal des Embruns. Pour inciter les gens à y aller, lors du dernier Conseil municipal un tarif spécial leur a même été voté.
Pour 10 euros on pourra occuper cet emplacement de 18 heures à 9 heures le lendemain; ce prix inclut l'électricité, la possibilité de vidanger toutes ses eaux usées et wc et faire le plein d'eau.
La création de ces emplacements a permis, en échange, à la municipalité, d'interdire le stationnement en certains lieux: place de Bertic, plage du phare, conche du Mimbeau,
parking de la caravelle à la pointe et place de la mairie au Canon.
La police municipale a reçu pour mission de faire respecter cet arrêté.
Quant aux campings-caristes, après avoir passé leur journée à sillonner la presqu'île,
ils peuvent retourner le soir au camping des Embruns.
....
lire l'intégralité de l'article > http://www.sudouest.com/040706/vil_gir_arcachon.asp?Article=040706a54577.xml

L'Expansion
29 juin 2006
Rien n'arrête les camping-cars
le marché explose, au point que certaines zones touristiques sont lasses de jouer les parkings géants. D'autres, à l'inverse, rêvent de tirer profit du pouvoir d'achat des seniors nomades.
Emile et Jacqueline sont aux anges. Attablés à côté de leur camping-car sur la plage de la Gaillarde, aux Issambres, dans le Var, ils sirotent un pastis, bercés par le rythme des vagues. Demain, les deux préretraités stationneront sans doute à proximité des calanques de Cassis. « L'indépendance d'un camping-car, c'est enivrant. On s'arrête où l'on veut, quand on veut, se félicite Emile. Ce luxe n'a pas de prix. »
.......

Ces « boobo » (boomers bohèmes), comme les surnomme Serge Guérin, professeur associé à Lyon II, spécialiste des modes de consommation des seniors, ont opté pour un nomadisme confortable : « Ils sont en bonne santé, explique-t-il, aspirent à jouir de leur liberté retrouvée, disposent de temps et d'argent. » .......

Sans faire de bruit, le marché du camping-car s'est fortement développé. Le parc français - 180 000 véhicules - a doublé en huit ans. « Une des clefs de ce succès tient dans la capacité d'innovation des constructeurs nationaux comme Trigano, Pilote, Hymer ou Rapido », souligne Caroline Nagiel, directrice de la communication du Syndicat des véhicules de loisirs. ......

Car les camping-cars déferlent en nombre croissant sur des communes non préparées à recevoir cette marée motorisée. Certaines ont choisi d'interdire ou de limiter leur stationnement, telles Cagnes-sur-Mer, Saintes-Maries-de-la-Mer, Wissant ou Saint-Raphaël. Attaqués en justice par le Comité de liaison du camping-car, ces arrêtés ont été abrogés car la législation française autorise - sauf en cas de trouble avéré - le stationnement d'un camping-car là où une voiture particulière peut se garer. A Dieppe, le stationnement sur le front de mer a été interdit « pour éviter la construction d'un mur de camping-cars inesthétique », souligne Laurent Martin, conseiller municipal délégué au tourisme.....

Déjà 230 sites d'accueil payants en Bretagne
En revanche, des villes tentent de concilier nomadisme et tourisme. « La Bretagne s'est vite positionnée comme une région pilote en offrant près de 230 aires de services payantes permettant aux camping-caristes de faire la vidange, le plein d'eau et d'électricité, et de passer la nuit en toute sécurité », constate Charles Ameglio, président de la Fédération française de camping et de caravaning. Elle est d'ailleurs la région la plus visitée par les camping-caristes européens. Ainsi, la commune finistérienne de Plougonvelin a dépensé près de 250 000 euros pour concevoir un site d'accueil arboré d'une capacité de 52 places, à 200 mètres de la mer. « Cet investissement, que nous devrions amortir en neuf ans, a permis d'en finir avec le stationnement sauvage tout en dopant l'économie locale », constate Aude Gauden, directrice de station touristique......
lire l'intégralité de l'article > http://www.lexpansion.com/art/6.0.133088.0.html

L'Echo Touristique
16 juin 2006

Le camping redevenu tendance
Le camping monte en gamme, à telle enseigne que les 4 et les 3 étoiles constituent désormais la majorité du parc français.
Le cinéma le met actuellement sur les devants de la scène, signe d’un certain renouveau :
le film « Camping » de Fabien Onteniente rencontre un vif succès sur les écrans français,
tandis qu'aux Etats-Unis, « Camping-car », avec Robin Williams, s'est imposé au box office.

« L'image du camping, synonyme de vacances pas chères et sans confort, avait fini par être désastreuse, reconnaît le président de la FNHPA, Guylhem Féraud. Elle a beaucoup évolué, comme le produit lui-même ». Les camping 4 étoiles ont doublé en 20 ans.
Les 4 et 3 étoiles constituent désormais 55,4% du parc. Le locatif a pris une place importante (17%) avec le mobil home. Et les animations se sont multipliées.

La FNHPA se félicite aussi de l'explosion des ventes directes par Internet.
A noter aussi que certains campings se distribuent via les agences de voyages et les TO.
Selon la Fédération nationale de l'hôtellerie de plein air (FNHPA), le camping est le premier mode d'hébergement payant en France. Il enregistre 100 millions de nuitées annuelles, correspondant à un milliard d'euros de chiffre d'affaires, pour 8 000 terrains classés.
Le parc français est le premier en Europe et le deuxième mondial derrière les Etats-Unis.
37% des clients sont des touristes étrangers : Allemands, Hollandais, Belges et Britanniques.

lire l'article
> http://www.lechotouristique.com/article/page_article.cfm?nrub=237&idoc=73196&navartrech=1

France 3
1 juin 2006

Le camping car à l'honneur au Puy-en-Velay
France 3
Pour leurs loisirs, les Français plébiscitent ce mode de déplacement et d'hébergement
Après Aurillac, c'est l'agglomération du Puy-en-Velay qui accueille cette année la 9e fête européenne du camping car. Sur le camp d'Eycenac, à Vals-près-le Puy, 1700 véhicules sont réunis pour 4 jours : un village de 4000 personnes. Une grosse organisation et des retombées économiques tout aussi importantes pour la région du Puy.
.....
lire l'article et
voir le reportage
> http://rhone-alpes-auvergne.france3.fr/info/21688159-fr.php

Le Progrés
2 juin 2006

Fête européenne du camping-car au Puy-en-Velay
ambiance de vacances garantie au camp d'Eycenac
Les derniers participants sont arrivés, hier, des quatre coins de l'Europe :
la fête du camping-car a débuté sur les hauteurs du Puy-en-Velay, le camp d'Eycenac
se transformant, jusqu'à dimanche, en un grand village de quatre mille âmes.
Chaque année depuis 1998, à l'initiative de Camping-Car Magazine, la fête européenne du camping-car permet aux adeptes de cette pratique touristique de découvrir une région de France et d'aller à la rencontre des différents acteurs de celle-là. .....
Quatre mille personnes sur le site ...
lire l'article > http://htdig.leprogres.com/Vendredi/Imprimer/686734.html

l'Est Républicain
juin 2006
transmis par OT Bar le Duc

Un nouveau "BTS" de camping-cariste
Les camping-cars sont les bienvenus dans la Codecom,et de nouvelles aires de stationnement «Beauté-Tranquillité-Sécurité» y seront bientôt signalées d'un panneau approprié.
C'est un tourisme en pleine croissance et qui consomme (plus de 28.000 € de revenus par an). Bref, c'est le tourisme dont rêve tout élu Meusien.
De là à dire que la Meuse est le département dont rêve tout camping-cariste..., peut-être pas. Mais il s'y intéresse.
D'assez près pour y faire un séjour de reconnaissance la semaine dernière, au nom des
200.000 amateurs du genre: petit tour dans le Barrois  pour repérer les aires de stationnement accueillantes." Combles, Trémont, Beurey, Robert-Espagne, Resson, Behonne et Val d'Ornain ont donc fait l'objet d'une visite dans les formes, en compagnie des responsables du tourisme local et d'Alain Guillard, président de l'Association Camping-Car Liberté.
Une association dont le siège est à Grenoble, mais, par définition,
ce ne sont pas les kilomètres qui lui font peur à bord de sa petite maison roulante.
But à atteindre: trouver le paradis d'un soir, ou de quelques jours, en terre meusienne!

« Frousse de se faire jeter »
« Il faut savoir que les camping-caristes s'échangent " énormément d'infos sur le net »,
souligne en préambule Alain Guillard après une semaine de repérage dans la Codecom
de Bar-le-Duc. "«
Bien sûr, des listes circulent d'endroits conseillés par les amateurs.
Mais
ce qui n'y figure pas, c'est si ces emplacements sont validés par les municipalités.
Or, le développement du camping-car aidant, on a de plus en plus la frousse de se faire jeter
d'une ville ou d'un village en arrivant.»
. .

Ne nions pas, en effet, que l'alignement en brochettes interminables de ces véhicules
sur le littoral a poussé certains maires à prendre des arrêtés pour en limiter le stationnement.
Mais, dans la Meuse, on est loin encore, très loin, de ce genre de pollution visuelle.
Vidange
D'ou le parti pris de Bertrand Pancher, président de la communauté de cornmunes,
d'encourager la venue de ces touristes particulièrement itinérants.

En une semaine, Alain Guillard, et sa vice-présidente Françoise Deroeck, ont prospecté
en quête des lieux « BTS », autrement dit « Beauté-Tranquillité-Sécurité » : un bord de rivière,
une lisière de forêt, ou quatre-cinq véhicules peuvent à loisir passer la nuit avec plaisir,
Étant entendu que l'aire de service centrale, aujourd'hui au stade de Marbeaumont
(mais en cours de transfert à la halte fluviale), continuera: de permettre la « vidange » sanitaire des véhicules. Les BTS ne sont que lieux de séjours.

Sur place, un panneau permettra la signalisation de ces aires dûment identifiées.
Et sur le net, l'ACCL les marquera d'un logo ad... hoc.
Le camping-cariste saura non seulement qu'il existe là un BTS, une « Étape liberté »,
mais qu'il y est en outre tout à fait officiellement le bienvenu.
« Ce qui ne veut pas dire que le stationnement est interdit partout ailleurs! »,
rappelle néanmoins Alain.
On peut donc compter désormais sur la visite plus régulière dans les environs de ces amateurs de villégiatures intermittentes. D'autant que l'OTSI et le Pays d'accueil prévoient d'élargir le choix, maintenant qu'ils ont pris connaissance des critères de sélection prônés par l'ACCL.

Enfin, au mois d'octobre, un colloque devrait être organisé à Bar-le-Duc sur le thème de
« Tourisme et camping-car ». Et cela à l'occasion de l'assemblée générale de l'ACCL, qui a choisi la cité des Ducs pour faire le point avec ses adhérents venus de France et de Navarre.
En camping-car évidemment !
Lysianne GANOUSSE.
scan de l'article > cliquez ici

voir > Le Colloque de Bar le Duc > Réussir l'accueil !

La Dépêche Meusienne
juin 2006
transmis par OT Bar le Duc

Bar le Duc fait les yeux doux aux camping-cars
400 à 500 camping-cars passent chaque année par Bar-le-Duc.
Fort de ce constat l'Office de Tourisme et la Codecom de Bar-le-Duc souhaitent capter ce qui pourrait se révéler un formidable levier pour l'économie locale. En effet les camping-caristes constituent des consommateurs en puissance; les statistiques montrant qu'ils disposent de revenus annuels supérieurs à 28000 euros, qu'ils fréquentent les restaurants trois fois par semaine, qu'ils font des courses dans les commerces locaux deux fois par semaine
et qu'ils visitent beaucoup (monuments, musées, églises etc...)

Le meilleur moyen de les attirer est donc de faciliter leur stationnement,
d'où l'idée de développer le concept "Etapes liberté", qui va se décliner et trois points.

Tout d'abord proposer une aire de services centrale à Bar le Duc où les campings-caristes pourront se réapprovisionner en eau et électricité et vidanger leurs eaux usées. En complément, quatre à cinq aires de stationnement disséminées autour du chef-lieu barisien (Trémont Sur Saulx, Resson, Beurey etc...) Et enfin, aiguiller ces touristes itinérants sur des itinéraires de découverte au départ de la dite zone de stationnement.
L'objectif étant de concourir à atteindre l'objectif si cher au président de la Codecom
Bertrand Pancher d'atteindre le chiffre de 25000 touristes accueillis dans les locaux de l'Office.
Le camping-car a la cote à Bar-le-Duc, d'autant plus qu'un colloque va lui être consacré
en octobre, mais nous en reparlerons.
Richard PAPAZOGLOU

 
TF1.archives
 

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